Dans une organisation qui conçoit et met en œuvre des stratégies en matière de ressources humaines et qui introduit un critère de mobilité pour les nouvelles recrues.

Il importe de noter que l’évaluation des besoins d’apprentissage linguistique doit non seulement permettre de combler les lacunes qui existent actuellement en matière d’apprentissage pour tel ou tel fonctionnaire et tel ou tel poste, mais aussi de prévoir la manière dont ces besoins évolueront probablement à l’avenir au niveau de l’Organisation ou de l’entité.
Il s’agit de soutenir les efforts de mise en œuvre de la politique de mobilité et de faciliter la gestion prévisionnelle des besoins en personnel de sorte que celle-ci se fasse de manière efficace et harmonieuse.
Au demeurant, la possibilité d’obtenir des données sur les compétences linguistiques du personnel, en fonction des besoins, peut permettre de recenser les ressources linguistiques disponibles, d’anticiper les pénuries actuelles et prévues et d’éclairer les stratégies de recrutement et de renforcement des capacités.
Une synthèse de KOIVOGUI Pauline Polivav

ONU : les avantages des compétences linguistiq
0Il est de notoriété publique que du fait de la mondialisation et de l’interconnexion croissantes, les compétences linguistiques deviennent de plus en plus cruciales au Secrétariat.

L’investissement dans les compétences linguistiques élargit les perspectives de carrière et apporte des avantages tangibles à l’Organisation, puisque les membres du personnel peuvent travailler dans différents pays et dans des lieux d’affectation ayant des exigences linguistiques bien précises, ce qui contribue aux objectifs de la politique de mobilité et à une meilleure exécution des mandats. Il faut dire que l’apprentissage d’une nouvelle langue peut être, pour les fonctionnaires, une expérience enrichissante source d’épanouissement personnel et de perfectionnement.
Les compétences linguistiques procurent des avantages directs et indirects, dans la mesure où la langue est une compétence à part entière, nécessaire notamment pour interagir avec les clients et les autres parties prenantes, comprendre les contributions linguistiques, tels que les documents écrits et les déclarations orales, et livrer des produits.
Il est également question d’un moyen de communication qui permet la collaboration entre les unités administratives et l’évaluation des autres qualifications, telles que les compétences techniques, les valeurs et les comportements, voire l’expérience, des membres du personnel et des candidats.
Une synthèse de KOIVOGUI Pauline Poliva

Il est de notoriété publique que du fait de la mondialisation et de l’interconnexion croissantes, les compétences linguistiques deviennent de plus en plus cruciales au Secrétariat.

L’investissement dans les compétences linguistiques élargit les perspectives de carrière et apporte des avantages tangibles à l’Organisation, puisque les membres du personnel peuvent travailler dans différents pays et dans des lieux d’affectation ayant des exigences linguistiques bien précises, ce qui contribue aux objectifs de la politique de mobilité et à une meilleure exécution des mandats. Il faut dire que l’apprentissage d’une nouvelle langue peut être, pour les fonctionnaires, une expérience enrichissante source d’épanouissement personnel et de perfectionnement.
Les compétences linguistiques procurent des avantages directs et indirects, dans la mesure où la langue est une compétence à part entière, nécessaire notamment pour interagir avec les clients et les autres parties prenantes, comprendre les contributions linguistiques, tels que les documents écrits et les déclarations orales, et livrer des produits.
Il est également question d’un moyen de communication qui permet la collaboration entre les unités administratives et l’évaluation des autres qualifications, telles que les compétences techniques, les valeurs et les comportements, voire l’expérience, des membres du personnel et des candidats.

Une synthèse de KOIVOGUI Pauline Poliva